Le couple rencontré en vacances – candaulisme

Salut à tous,

Une fois n’est pas coutume, pendant les vacances le rythme ralenti :(.

Du coup aujourd’hui, ce n’est pas une histoire écrite par moi mais un récit qui vient de . C’est ce couple de quarantenaires un peu prude qui rencontre en vacances un couple bien plus ouvert… On commence avec le nudisme sur le bateau pour finir dans une soirée hors de contrôle ;). La vidéo se trouve en bas.

Profitez-bien de vos vacances et si vous avez des expériences qui dérapent pendant vos vacances, n’hésitez pas à me les raconter pour m’inspirer dans les prochaines histoires !

Ma femme est un peu prude

Je me prénomme Jean et je voudrais raconter l’expérience inoubliable que j’ai vécue cet été avec ma femme, Véronique. Nous sommes un couple dans la quarantaine, sans histoire, mariés depuis quinze ans. Sans être un top-model, ma femme est plutôt jolie, brune aux yeux noisette, 1,70 m, bien faite, même si elle n’a plus ses vingt ans. De jolies jambes, et surtout des seins qui sont restés bien fermes et galbés, et que j’aime beaucoup. Elle a su se garder en forme et conserver un corps très agréable à regarder.

 

Elle s’habille de manière décontractée, sport, ou classique, selon les circonstances. Parfois un peu sexy à certaines occasions, trop rarement à mon goût. Pour le réveillon, une robe un peu échancrée et sans soutien-gorge, ou dans la rue parfois une jupe assez courte, ou en été une saharienne déboutonnée très haut, qui permet d’admirer ses jambes.

 

Et sur la plage en maillot deux-pièces, jusqu’à ce que, il y a trois ans, j’ai fini par la convaincre d’enlever le haut. Ce moment- là a été un grand bonheur pour moi. Voir ma femme les seins nus sur le sable, exposée aux regards des autres hommes (qui ne s’en privent pas, même des jeunes), est un véritable plaisir dont je ne me lasse pas. Mais elle ne le fait que s’il y a suffisamment de femmes dans la même tenue autour de nous.

La rencontre avec ce couple plus… libéré

Donc cet été dernier, nous avons passé nos vacances dans la presqu’île de Giens, en location. Un soir, au restaurant, nous avons sympathisé avec un couple de notre âge, Georges et Marina. Lui, brun et bien conservé, elle, blonde et assez menue, mais avec du charme. Ils nous ont proposé de nous faire profiter de leur bateau le lendemain, pour passer l’après-midi à Porquerolles, ce que Véro et moi avons accepté. Nous nous sommes quittés en nous donnant rendez-vous à 11 heures au port, le lendemain.

 

En rentrant chez nous, nous étions très contents de pouvoir profiter d’une belle journée en bateau pour pouvoir profiter de ce joli coin, autrement que vu du bord de la plage.

 

Et puis Véro m’a appris que Marina lui avait dit que, lorsque qu’elle était seule avec Georges, elle se mettait entièrement nue sur leur bateau. Je lui ai demandé ce qu’elle en pensait, Véro m’a répondu qu’ils pouvaient bien faire ce qu’ils voulaient, puis elle a plaisanté en disant qu’elle espérait bien que Marina ne le ferait pas demain, car cela me plairait trop !

 

Je l’ai rassurée en lui disant que je n’avais pas d’attirance particulière pour Marina, ce qui était d’ailleurs la vérité.

 

Par contre, cette nouvelle m’a mis un peu dans tous mes états, car je me suis mis à fantasmer sur Véro, d’imaginer que ce soit elle qui soit nue sur un bateau, et lorsque nous avons fait l’amour ce soir-là, c’est à de telles images que je ne pouvais m’empêcher de rêver…

La balade en bateau, et les seins nus !

Le lendemain, nous sommes arrivés à l’heure au port. Véro était très en beauté, avec déjà un petit bronzage, une jolie robe d’été très courte à bretelles et, en dessous, un deux-pièces couleur fuchsia qui allait très bien avec son léger hâle.

 

Georges et Marina nous ont accueillis avec un plaisir visiblement sincère. Leur hors-bord était très sympa, avec deux matelas bains de soleil à l’avant, un emplacement avec table et banquette à l’arrière, et le poste de pilotage surélevé.

 

Marina a complimenté Véro en lui disant qu’elle était très jolie. Elles se sont vite mises à bavarder ensemble. Marina portait un paréo sous lequel il était visible qu’elle avait les seins nus. Cette tenue m’a de nouveau émoustillé, car j’imaginais bien qu’elle avait prévu de passer la journée sans haut de maillot. Et du coup, ce qui m’intéressait beaucoup, c’était de savoir quel allait être le comportement de Véro. Je me faisais déjà des films, et j’avais la gorge un peu nouée par cette situation.

 

Georges était, quant à lui, très détendu et m’a rapidement offert une bière. Puis il a mis le moteur, et nous sommes doucement sortis du port.

Avant que l’on sorte en mer, Marina s’est levée en s’adressant à Véro :

— Viens, on va aller bronzer devant pendant le trajet. Je te préviens, moi je ne mets pas de haut, toi, tu peux faire comme tu veux.

En accompagnant le geste à la parole, elle a défait son paréo et effectivement, elle est apparue vêtue de son simple slip. En la voyant, je n’ai pas pu m’empêcher de changer d’avis sur elle, car elle avait un très joli corps, certes menu mais harmonieux et avec de jolis petits seins haut perchés.

 

Véro s’est également levée en disant :

— Je te suis, et a fait passer sa robe par-dessus sa tête.

Je la trouvais magnifique en maillot et, du coin de l’œil, j’ai vu que Georges appréciait aussi beaucoup. Véro avait des seins plus développés et galbés que Marina et qui remplissaient joliment son maillot, bien échancré. Quant à son slip, sans être un string, il était assez réduit, ce qui laissait nue une grande partie de ses fesses.

J’avais le cœur qui battait en me demandant si elle allait oser se mettre les seins nus, elle aussi. Mais non, Véro s’est dirigé vers l’avant en deux-pièces. Mon pouls est retombé. Visiblement elle restait assez prude. J’en étais à la fois rassuré et un peu frustré.

 

Je suis monté avec Georges dans le poste de pilotage et il a mis les gaz. Nous avons discuté ensemble une bière à la main mais visiblement, nous étions tous les deux très captivés par le charmant spectacle qui se présentait sous nos yeux à l’avant, à savoir nos deux femmes bronzant et discutant face à face, se touchant presque, Marina nous faisait face, les seins nus et Véro était de dos, très sensuelle dans son maillot. Son slip avait carrément glissé entre ses fesses, ce qui faisait que l’on aurait dit un string. Elle ne semblait pas s’en être rendu compte dans la conversation. J’avais de nouveau le cœur battant, je n’avais jamais vu les fesses de Véro ainsi dénudées, même sur la plage. Georges semblait beaucoup apprécier.

 

La traversée jusqu’à Porquerolles a continué ainsi, avec ces visions très agréables. Une fois arrivés, Georges a jeté l’ancre dans une baie, et nous avons tous plongé dans l’eau transparente, une formidable sensation avec la chaleur qui se faisait bien sentir en ce milieu de journée.

 

Véro est remontée à l’échelle, la première, et j’ai pu constater que son bas de maillot ne semblait pas vouloir revenir à la normale, au contraire, avec l’eau, son maillot s’était encore inséré un peu plus dans la raie de ses fesses. Un spectacle qui à la fois me ravissait et me laissait un peu perplexe, car je me demandais comment elle faisait pour ne pas se rendre compte qu’elle avait les fesses pratiquement nues. Peut-être la gaîté du moment, car elle semblait vraiment heureuse d’être là, dans cet endroit paradisiaque, et aussi très bien s’entendre avec Marina. Ou alors elle s’en rendait très bien compte et elle se sentait bien comme cela… Ou les deux à la fois. En tout cas, ce spectacle tout à fait inhabituel de ma femme les fesses nues à la vue de Georges et Marina me mettait dans un certain état de confusion, à la fois ravi et déstabilisé. J’avais l’impression de découvrir une autre Véro.

Le champagne aidant…

Nous sommes tous remontés et nos hôtes nous ont offert le champagne. C’est Marina qui servait, et quand elle s’est penchée pour me servir, sa poitrine nue était à vingt centimètres de mon visage. Je me suis surpris à avoir envie d’embrasser ses petits seins si proches et tentants.

 

Nous avons bu deux ou trois verres, et l’ambiance est devenue franchement gaie. Georges et Marina sont retournés se baigner, nous laissant un instant seuls Véro et moi. Nous avons eu la même envie au même moment tous les deux et nous sommes levés et embrassés longuement et avec passion.

Ensuite, elle toujours dans mes bras, je lui ai demandé :

— Tu te sens bien ?

— Oui, m’a-t-elle répondu en souriant, c’est vraiment une belle journée, je suis heureuse d’être ici, je me sens vraiment bien.

 

Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, certainement le spectacle du matin, le soleil, le champagne, tout cela à la fois, je me suis entendu lui dire, comme dans un rêve et le cœur battant :

— Tu sais, si tu en as envie, tu peux te mettre les seins nus, toi aussi.

 

J’avais à peine dit cette phrase que je la regrettais presque, me demandant quelle réaction elle allait avoir. Véro est restée quelques secondes sans rien dire. Puis elle s’est un peu détachée de moi, et en me fixant droit dans les yeux, avec un regard un peu trouble, elle a porté les mains dans son dos, et tout en défaisant le nœud de son maillot, m’a simplement répondu :

— Oui, tu as raison. En fait, j’en ai très envie.

 

J’étais dans un état second en la regardant délacer les ficelles, puis faire glisser son maillot vers le bas, découvrant ses superbes seins nus, et enfin poser son maillot sur une banquette. Elle s’est ensuite installée avec naturel sur la banquette en reprenant son verre de champagne qu’elle n’avait pas terminé, son regard parcourant la mer. À ce moment, j’ai ressenti mille choses à la fois : une nouvelle relation entre nous, de la jalousie car elle offrait ainsi volontairement sa poitrine à nos hôtes, et un sentiment indescriptible de l’intense érotisme de cette situation.

 

Quand Georges et Marina sont remontés, j’ai d’abord remarqué la surprise de Georges, puis son intérêt manifeste. Quant à Marina, elle a eu un sourire épanoui en s’adressant à Véro :

— Waouh ! Bravo Véro, tu as des seins superbes, il aurait été trop dommage de les cacher plus longtemps ! Je suis vraiment contente que tu te sentes bien avec nous. Viens, on va aller bronzer un peu.

 

Et ce faisant elle prend la main de Véro et l’emmène sur le devant du bateau. Georges me dit simplement :

— Tu as de la chance, ta femme est superbe et vraiment très sexy comme ça. Viens, on va finir notre champagne sur le pont.

 

Et c’est ainsi que nous avons passé un moment, Georges et moi avec nos verres au poste de pilotage, avec une vue imprenable sur nos deux femmes étendues sur le pont, les seins nus. La vision des seins de Véro était d’autant plus érotique qu’ils sont bien épanouis et galbés, au regard des seins certes charmants mais petits de Marina. L’attention se portait forcément plus sur les seins nus de Véro.

 

Au fur et à mesure que le temps passait, toujours à l’ancre dans cette baie paradisiaque, je me suis rendu compte que Véro se sentait de plus en plus à l’aise dans sa nouvelle tenue. Elle se mettait tour à tour sur le ventre, les seins bien visibles et penchant vers le bas, ou assise les seins tournés vers nous. À un moment, elle s’est levée pour aller chercher un jus de fruit dans la cabine, ses seins nus se balançant joliment à chaque pas, et sans aucun complexe de sa part me semblait-il. Je n’en revenais pas de la décontraction de ma femme. Encore une fois, j’avais l’impression de la découvrir complètement. J’étais à la fois aux anges du fait de l’érotisme de la situation, et aussi un peu perdu et déstabilisé par sa nouveauté.

 

Georges nous a proposé d’aller visiter une autre baie, et nous avons navigué un court moment avant de jeter l’ancre à nouveau dans un endroit encore plus beau.

Nu intégral ou pas ?

Marina a tout de suite proposé à Véro qu’elles se jettent à l’eau. Les deux femmes sont venues à l’arrière, où moi et Georges nous tenions. Marina a annoncé avec enthousiasme et en souriant :

— Je vous préviens, cette fois-ci je nage toute nue, j’espère que cela ne dérangera personne !

 

Et en deux temps trois mouvements, elle retire son slip, glisse le long de l’échelle et se jette à l’eau. J’ai juste eu le temps de voir un joli sexe entièrement épilé.

Véro s’apprêtait à descendre l’échelle quand Marina lui lance :

— Allez Véro ! Enlève le bas, tu verras comment c’est si bon de nager nue !

 

Véro s’arrête, hésitante sur la conduite à tenir. Mon cœur se remet à battre très fort. J’entends Marina lui crier en me regardant :

— Je suis sûre que Jean aimerais bien que tu te mettes toute nue, n’est-ce pas Jean ?

 

Sa question est une bombe qui éclate entre moi et Véro. Véro me regarde, l’air un peu hagard. Des secondes passent… Je sens que Georges a du mal à respirer, moi aussi. De nouveau comme dans un rêve je me surprends à dire :

— Oui, bien sûr.

 

Véro me regarde, intensément. Des heures passent dans ces secondes d’échange. Tout d’un coup, je vois dans le regard de Véro qu’elle a décidé. L’esprit perdu, comme dans un nuage, je vois Véro se pencher doucement sur le nœud de son slip, le défaire doucement, et le slip glisser le long de ses jambes. Elle est nue. Ma femme est nue, entièrement nue. Sa toison brune et son sexe exposés devant un autre couple. Elle en a décidé ainsi. Je la vois se diriger vers l’échelle, descendre dans l’eau, sans me regarder.

Marina d’adresse à elle :

— Bravo, merci Jean, ta femme est trop belle !

 

Ensuite les femmes ont nagé nues toutes les deux un long moment. Georges et moi avions repris une bière. Mais je sentais bien qu’il était « tout chose » d’avoir vu Véro se mettre nue devant nous. Marina est remontée la première, elle s’est séchée, sans remettre son bas de maillot.

 

Quand Véro est remontée, la première chose que nous avons tous pu admirer, ce sont ses jolies lèvres charnues desquelles ruisselait un filet d’eau. J’avais la tête qui cognait en la voyant ainsi, me demandant si elle allait vouloir remettre son slip ou rester nue comme Marina. Elle ne semblait pas à l’aise nue, et s’est penchée pour le ramasser. Marina l’a bien vu, elle s’est approchée d’elle et, lui prenant la main qui tenait le maillot, lui dit :

— S’il te plaît Véro, ne le remets pas, reste comme cela pour le reste de la journée, tu es trop belle toute nue. Tu verras, tu vas t’habituer et bientôt tu n’y penseras même plus.

 

Véro m’a regardé, j’ai instinctivement fait un petit signe d’assentiment de la tête. Le cœur battant toujours, j’ai vu qu’elle acceptait, et posait son slip sur la banquette à côté de celui de Marina, puis se retournait vers moi, cette fois-ci en souriant :

— Très bien Jean, c’est toi qui l’auras voulu.

 

À cet instant, je réalise avec incrédulité que cela signifiait qu’elle allait rester entièrement nue pendant tout le reste de la journée ! Une perspective qui me mettait au comble du ravissement, avec en même temps de l’appréhension du fait de l’inattendu de cette situation…

Ca dérape sur le bateau ou je me fais des films ?

Marina s’assoit sur la banquette, prend la main de Véro pour la faire asseoir à côté d’elle. Véro croise les jambes, ne laissant voir que sa toison. Marina dit en riant :

— Je suis sûre que Jean apprécie beaucoup. Tous les hommes rêvent que leur femme se mette un jour nue devant d’autres. Tu ne t’es jamais mise nue sur la plage ?

— Non, jamais, répond Véro

— Eh bien maintenant que tu as fait le pas, tu auras peut-être plus facilement envie. Allez, on va se prendre un jus de fruit.

 

Nous avons alors bavardé tous les quatre. Georges et moi faisions face à nos deux femmes. J’étais à la fois très excité et aussi abasourdi par la vision de Véro nue sur la banquette, toute proche de Marina, toute aussi nue. J’imaginais que Georges devait aussi être enchanté par ce spectacle.

Au début je voyais bien que Véro n’était pas très à l’aise, gardant les jambes croisées. Marina était, quant à elle, plus décomplexée, les jambes assez ouvertes, et je pouvais admirer son joli sexe imberbe, avec ses lèvres roses.

 

Au fur et à mesure de la conversation, j’ai vu que Véro se détendait, elle parlait plus librement. Marina avait posé une main sur une cuisse de Véro, comme pour la rassurer. Avec stupéfaction, j’ai vu les jambes de Véro se décontracter, se décroiser, et puis, tandis que mon cœur battait, s’ouvrir progressivement, presque naturellement. Ses lèvres ont commencé à apparaître, d’abord timidement, puis plus franchement. Je sentais que Georges à côté de moi perdait aussi un peu les pédales à ce spectacle. Il parlait moins et avait le regard fixé sur le sexe de plus en plus visible de Véro. À un moment donné, comme Véro était en train de parler avec animation, sans s’en apercevoir, ses jambes se sont largement écartées, montrant tout, ses lèvres, sa fente entrouverte, l’intérieur de ses cuisses… De savoir que Georges avait aussi une vue aussi plongeante sur le sexe offert de Véro me bouleversait complètement. Véro s’aperçut soudain de sa posture en regardant le bas de son corps. Elle eut un réflexe et referma les jambes. Et puis elle me regarda, je lui souriais, et à ma grande surprise, elle rouvrit ses cuisses, pour se remettre comme avant, le sexe exposé, me souriant également. Comme pour me montrer qu’elle n’avait plus honte d’être nue, qu’elle avait apprivoisé sa nudité. Quelle situation ! Que je n’aurais jamais imaginé encore ce matin…

 

Comme Marina avait remis sa main sur la cuisse de Véro, je vis ma femme poser également une main sur celle de Marina, qui se tourna vers elle en lui souriant pour la remercier de cette proximité. Nous avons continué à converser un peu, et à un moment, je me suis rendu compte que la main de Marina avait glissé vers l’intérieur de la cuisse de Véro, et qu’elle n’était qu’à quelques centimètres de son sexe ! Elle n’allait quand même pas lui toucher ! Effectivement, je me suis rendu compte que c’est moi qui étais carrément en train de fantasmer, car peu de temps après elle a enlevé sa main de la cuisse de Véro. J’ai pu reprendre ma respiration.

 

La suite de l’après-midi s’est déroulée comme dans un rêve. Georges et moi discutions avec une bière à la main, pendant que nos deux femmes passaient alternativement de la baignade au bain de soleil, et vice-versa, toujours intégralement nues. Je voyais bien que Véro s’était maintenant complètement habituée à sa nudité. Je n’en revenais pas de sa facilité d’adaptation. Elle ne faisait plus attention à ses attitudes, et on avait la plupart du temps une vue intégrale sur son sexe. Elle allait et venait très naturellement, passant plusieurs fois devant Georges et moi sans sembler se rendre compte de l’effet qu’elle produisait.

 

À un moment, je me suis retrouvé seul avec elle, et nous nous sommes de nouveau embrassés. Je lui ai dit qu’elle était vraiment superbe toute nue, et je lui ai demandé comment elle se sentait. Elle m’a répondu :

— Très franchement, je me sens heureuse d’être nue, je n’aurais jamais imaginé pouvoir faire cela. Je suis vraiment contente que tu le prennes bien, j’avais un peu peur de casser quelque chose entre nous, tu as bien vu que j’étais hésitante. Mais avec Marina et Georges je me sens bien, cela ne me dérange pas d’être nue devant eux. Et toi, tu aimes bien ?

— Plutôt que j’aime bien ! En fait je te trouve tellement désirable comme ça ! Et puis, comme tu peux l’imaginer cela m’excite beaucoup.

— On en reparlera sûrement au lit ce soir ! me dit-elle en souriant.

 

L’heure était venue de rentrer. Georges et Marina nous ont proposé de dîner chez eux pour finir la journée, et nous avons répondu spontanément que cela nous faisait très plaisir. J’étais heureux à l’idée que cette journée idyllique puisse se poursuivre !

Le rapprochement de Georges et Véro qui ne me laisse pas indifférent

En regardant Véro, Marina s’adressa à son mari :

— Georges, pour le retour, tu ne voudrais pas apprendre à Véro à piloter un peu le bateau ?

Puis à Véro :

— Ça te dirait ?

 

Véro me regarde, je dis que c’est une bonne idée si ça lui plaît. Véro se tourne vers Georges :

— Oui, cela me plairait bien, mais de ne suis pas sûre de savoir me débrouiller, je vais peut-être tous nous faire tous couler, dit-elle en riant.

 

Nous montons tous les quatre dans le poste de pilotage. Georges lui explique le maniement des instruments. Puis un sentiment de jalousie m’envahit quand il se place derrière elle pour la guider. Bien que leurs corps ne se touchent pas, c’est une situation totalement inédite pour moi de voir un homme en maillot à quelques centimètres derrière ma femme nue. Il lui tient les bras pour l’aider à manœuvrer le volant. Il est vraiment tout près d’elle. Au bout d’un moment Véro sait se débrouiller toute seule, et il s’assoit comme nous. Il la félicite pour son apprentissage rapide. Véro reste seule debout à la barre, et l’érotisme de cette situation est qu’elle a les jambes légèrement écartées, et de nos positions assises situées derrière elle, nous avons une vue imprenable sur son intimité, la raie de ses fesses, et ses lèvres que la pesanteur tendent bien vers le bas. Je vois que le regard de Georges y est sensible, et même celui de Marina, me semble-t-il.

 

Nos deux femmes ont attendu le dernier moment pour se rhabiller, pratiquement juste avant d’entrer dans le port. Marina a remis son paréo, et Véro sa robe, sauf que je m’aperçois qu’elle n’a pas souhaité remettre son haut de maillot et a laissé ses seins nus sous sa robe. Comme ils sont fermes, cela lui va très bien, et je la trouve une nouvelle fois très désirable.

Le rapprochement subtil

Nous n’avons pas le temps de repasser par chez nous car il est déjà un peu tard, et nous suivons leur voiture avec la nôtre pour aller chez eux. Cela nous a donné l’occasion à Véro et moi d’échanger sur cette surprenante journée et sur cette expérience nouvelle pour nous. Elle m’avoué avoir regretté de devoir se rhabiller, tellement elle avait pris plaisir à être nue. Quant à moi, je lui ai dit que, même si j’avais été jaloux qu’elle montre son corps, j’avais eu tant de plaisir à la voir nue toute la journée qu’il faudrait qu’on le refasse. Par exemple en allant sur des plages nudistes. Véro me répondit qu’elle était d’accord. Et que comme ça au moins je serais nu aussi, ce qui nous mettrait sur un pied d’égalité.

 

Nous sommes vite arrivés chez eux. Ils avaient une jolie piscine, et comme il faisait encore chaud, les filles ont décidé d’aller piquer une tête avant l’apéritif. Marina s’est mise rapidement entièrement nue, et Véro l’a imitée, sans aucune hésitation cette fois-ci. Même si Georges et moi les avions vues comme cela toute la journée, c’était un spectacle très agréable de les voir courir nues vers la piscine. Une fois dedans elles se sont amusées à s’éclabousser en riant, et à essayer de faire couler l’autre. Ce faisant, elles étaient très proches l’un de l’autre, et il me semble même que leurs corps se sont collés ensemble à plusieurs reprises. Que le corps nu de Véro touche celui d’une autre femme me troublait profondément, même s’il s’agissait d’un jeu.

 

Au bout d’un moment, elles sont ressorties. Georges avait servi le champagne, et c’est sans aucune intention de remettre leurs vêtements qu’elles se sont assises nues dans leurs chaises de jardin, côte à côte, toutes proches. Comme sur le bateau, Georges et moi avions de nouveau une vue imprenable sur leurs sexes. Je n’en revenais de nouveau pas de la situation.

Le dérapage

Nous avons bu pas mal de verres, Georges allant rechercher du champagne quand une bouteille était vide. À un moment, sans nous rappeler comment c’est arrivé, nos femmes en sont venues à comparer leurs corps. Elles nous ont demandé ce que nous trouvions de bien chez l’une ou chez l’autre. Georges s’est lancé le premier en disant qu’il trouvait les seins de Véro superbes. Marina a regardé les seins de Véro, puis en touchant ses propres petits seins, elle a commenté :

— Oui, c’est vrai que j’ai toujours trouvé les miens trop petits, et j’avoue que je suis jalouse de ceux de Véro.

 

Puis, de manière inattendue, elle s’est tournée vers Véro en se rapprochant d’elle et en la regardant dans les yeux, elle lui demande :

— Je peux les toucher ?

 

Ma femme, surprise, avait à peine le temps de prononcer un faible « oui », que Marina posait ses mains sur les seins de Véro, les soupesant avec délicatesse. Ma tête était en feu. Je ne sais pas ce que pensais Georges, il ne disait plus rien et regardait.

— Ils sont vraiment très beaux, j’aimerais tant avoir les mêmes.

 

Je pensais qu’après cette évaluation elle allait retirer ses mains, mais non, elle a parcouru les seins de Véro, les caressant carrément, et puis elle a pris ses mamelons pour les tourner entre ses doigts. Ce qui a eu pour effet de les ériger immédiatement. Marina a fini par retirer ses mains en riant :

— En plus ils réagissent au quart de tour !

 

Georges semblait scotché sur sa chaise. Toujours comme dans un rêve j’ai entendu Véro répondre, sans doute aidée par les verres de champagne :

— Tu sais, même s’ils sont menus, j’aime bien les tiens aussi.

 

Je la vois se pencher vers Marina et lui prendre les seins, les caresser doucement, et pincer aussi ses pointes. Qui ont vite réagi elles aussi. Véro a retiré ses mains, et puis m’a regardé, avec un air troublé. Je lui ai souri, mais en réalité j’étais proche de tomber de ma chaise. Ma femme nue, le sexe à l’air, caressant les seins d’une autre femme, je n’en revenais pas. Marina a poursuivi, en se reprenant un verre :

— Et maintenant, au tour de Jean !

 

Dans un état second, ayant eu toute la journée le spectacle du sexe nu de Marina, je sortis :

— Ce que j’aime bien chez Marina, c’est son épilation.

 

Marina rit :

— Véro, je crois que c’est un message pour toi !

 

Puis en se tournant vers ma femme :

— Tu ne t’es jamais épilée ?

 

Pour une fois, je vis Véro rougir un peu, réalisant quand même que l’on était en train de parler de son sexe.

— Non, jamais.

 

Marina s’adresse à moi :

— Et toi Jean, tu n’aimerais pas ?

— Si, je pense que j’aimerais bien.

 

Marina se retourne vers Véro, et pose doucement sa main sur le bas de son ventre :

— Tu vois, tu n’as plus qu’à essayer. Tu verras, cela procure des sensations très agréables. Je peux toucher ? dit-elle en rapprochant sa main de la toison de Véro.

— J’ai besoin d’un verre d’abord, répondit Véro

Touchée par une autre, et UN autre ?

Marina s’exécute et lui ressert un verre de champagne, que Véro prend en main. Pendant que Véro boit une gorgée, la main de Marina descend sur sa toison, la caresse :

— Elle est si douce… En fait je me demande si tu ne devrais pas la garder.

 

Georges ne disait toujours rien, moi non plus, nous étions tous deux paralysés par le spectacle. La main de Marina joue quelques temps avec la toison de Véro, puis, comme je l’espérais et le redoutais à la fois, elle descend plus bas, enserre les lèvres de ma femme avec ses doigts :

— J’aime bien aussi tes lèvres…

 

Elle les caresse un moment, puis les écarte, et glisse un doigt entre le sexe de Véro, puis commence un léger va-et-vient. Véro se laisse faire, le moment est magique. Plus personne ne parle. Marina reprend la parole, tout en laissant sa main sur la chatte de Véro :

— Georges, est-ce que tu veux bien nous resservir ? Et après, viens près de moi. Jean, tu veux bien aller à côté de Véro ? On sera mieux.

 

Après que Georges ait resservi, il s’est installé à côté de Marina, et moi à côté de Véro. Pendant ce temps Véro avait aussi posé une main sur la chatte de Marina, elle lui écartait les lèvres avec ses doigts, puis commença à la caresser. Marina avait glissé son autre main dans le short de Georges, et en sortit son sexe qui bandait dur. Tout en regardant cela, Véro fit de même avec moi. Nos shorts respectifs tombent à terre. Marina et Véro sont maintenant en train de se caresser le sexe, elles se rapprochent et s’embrassent sur la bouche, leurs langues s’entremêlent, elles se caressent les seins, je ne sais plus où je suis…

 

Puis Marina prend une main de Véro, et l’emmène délicatement vers la verge tendue de Georges. Elle l’y pose. La tête dans un nuage, je vois la main de Véro prendre possession du sexe de Georges, le faire aller et venir… Marina à son tour avance sa main et prend possession du mien. Je suis au comble de l’excitation et je dois me retenir pour ne pas me lâcher immédiatement. Nos femmes se caressent entre elles, s’embrassent fougueusement et nous caressent en même temps. C’est Georges le premier qui bouge et qui vient se mettre devant sa femme. En écartant la main de Véro qui était insérée dans le sexe de Marina, il la pénètre doucement, puis de manière plus saccadée. Je fais de même avec Véro, c’est un plaisir immense de pénétrer ma femme après cette journée d’un intense érotisme. Georges et moi allons et venons dans nos femmes, qui continuent à s’embrasser et à se caresser les seins. Mais nous nous retenons, sans doute avec le même espoir. Qui se concrétise bientôt. Marina fait volontairement ressortir Georges. Elle regarde Véro, qui fait de même avec moi. Puis Marina s’adresse à moi, doucement :

— Jean, tu veux bien ?

 

J’ai le temps de murmurer « oui », et Georges vient se placer devant le sexe ouvert de Véro, qui me regarde, le regard un peu perdu, je vois qu’elle ne contrôle plus son plaisir. Georges se tourne vers moi, je lui fais un petit signe de tête, je suis fou, il va prendre ma femme. Effectivement il la pénètre doucement, elle gémit et ferme les yeux, et il commence… Marina me fait signe de venir, j’entre en elle, elle est douce comme je ne m’imaginais pas. La suite de la soirée est indescriptible, nous faisons jouir nos femmes respectives, puis elles reprennent leurs caresses entre elles, puis nous les reprenons, ainsi de suite sans nous arrêter, presque jusqu’à l’aube. Enfin nous montons à l’étage, épuisés par cette journée, et sombrons dans un profond sommeil, enlacés tous les quatre dans un même lit.

 

Une belle vidéo que j’imaginais filmée par Jean et voyant Marina, sa chérie Claire et Georges s’amuser sur le lit 😉

Voilà, profitez bien de votre été les cocus !

Gaspard.

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